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Chiennes de garde, Dahlia de la cerda

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Rageuses,fortes,survivantes sont les femmes de ces nouvelles qui tissent un fil ténu de destins entremêlés dans la violence, le drame, l’amitié. L’autrice nous dit que « Le Mexique est un énorme monstre qui dévore les femmes ». Il n’y a donc pas d’autres possibilités de survie : devenir plus enragée qu’un homme, plus destructrice que la violence sociale, ou mourir broyée par la haine, la fureur des hommes et du monde. Qu’est-ce que ça fait mal ! Que c’est violent ! Mais nécessaire, d’une crudité qui nous met nous lecteurice bien installé.e dans notre canapé, face à la réalité sociale de ses femmes. Et pourtant, malgré tout, il y a de la tendresse en creux de ces pages. Une immense claque dans ma gueule !


Chiennes de garde, Dahlia de la Cerda, Editions du sous-sol

Traduit de l’espagnol (MEXIQUE) par Lise Belperron

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